Cher Monsieur,
J'ai déjà à de nombreuses reprises tenté de prendre contact avec UFC-Que
Choisir via e-mail, fax, téléphone, courrier.
Au mieux, j'ai reçu un accusé de réception.
Je suis également une victime de la complicité avérée de l'Etat français
avec certaines entreprises étrangères en matière de vente conjointe
forcée de licences logicielles, le droit européen faisant que lorsqu'on
achète un ordinateur sur Internet (DELL par exemple), c'est le droit du
lieu du vendeur qui compte.
Je suis par ailleurs vice président de l'association des utilisateurs de
logiciels libres au Luxembourg (LiLux) <http://lilux.lu> et
vice-président de l'Internet Society Luxembourg <http://isoc.lu>
Mon dossier est disponible publiquement à l'adresse suivante:
http://BFrere.net/VCF
Je suis également rédacteur en chef d'un magazine luxembourgeois. J'y ai
fait paraitre (ainsi que dans d'autres journaux) l'article suivant:
"Informatique et dictatures
<http://bfrere.net/VCF/Informatique%20et%20dictatures.pdf>"
Je suis actuellement en train de chercher à rassembler des personnes,
associations et entreprises lésées pendant toutes ces années par la
complicité illégale de l'Etat français, qui a biaisé dangereusement le
marché et rendu très difficile la vie de ceux qui ne désiraient pas se
conformer au choix qu'il tentait de nous imposer. L'heure est venue pour
lui de passer à la caisse.
Le cas que je décris dans mon dossier plus haut est légèrement différent
de celui des tentatives isolées d'obtenir le remboursement des contrats
de licences illégalement vendues par divers commerçants, puisque je me
refuse d'effectuer l'achat tant que celui-ci ne se fait pas dans des
conditions légales. De plus, dans mon cas, j'ai obtenu un premier
exemplaire de l'ordinateur convié sans difficultés, ce qui démontre bien
que toutes les justifications du refus de la seconde vente sont nulles.
De plus, j'ai suivi patiemment la chaîne des responsabilités, jusqu'à M.
Sarcozy et la direction de la DGCCRF, laquelle m'a fourni une réponse
signée de la main de son sous-directeur, qui avoue la complicité de son
administration avec les pratiques illégales constatées. Ce document est
à votre disposition ici:
Page 1 <http://bfrere.net/VCF/images/DGCCRF%201-2.jpeg>
Page 2 <http://bfrere.net/VCF/images/DGCCRF%202-2.jpeg>
Vu le refus des autorités françaises de faire respecter la loi
applicable et le droit européen, vu les dégâts causés au marché de
l'informatique au delà des frontières françaises, vu les condamnations
récentes (500 000 000+ EUR) imposées aux opérateurs téléphoniques pour
entente visant à réduire la concurrence, vu les amendes imposées à
certaines sociétés pour abus de position dominante par l'Union
Européenne, et étant donné le document en ma possession, j'aimerais
savoir si vous seriez intéressé à participer à un consortium
d'associations (dont LiLux.lu <http://LiLux.lu>), d'entreprises et de
particuliers lésés par ce scandales, qui pourraient traîner devant les
tribunaux européens à Luxembourg l'Etat français afin d'obtenir
réparation des dégâts faits, à savoir:
* l'annulation de toutes les licences vendues illégalement à partir du
territoire français depuis le premier dépôt de plainte (2001)
* la condamnation de l'Etat français à prendre toutes les mesures
nécessaires au rétablissement d'un équilibre entre fournisseurs de
logiciels dans le marché de l'ordinateur de type "PC IBM compatible"
* la condamnation de l'Etat français pour sa faute lourde, ayant couvert
et soutenu pendant tant d'années une pratique illégale qui avait été
menée à sa connaissance
* la condamnation de l'Etat français à la réparation de toutes les
conséquences de la distortion de concurrence, comme les conséquences
indirectes sur le prix de vente des produits et services qui intègrent
le recours à des technologies informatiques
* l'interdiction de vente des produits pratiquant la technique de vente
conjointe forcée, y compris des logiciels ne fonctionnant que sur un
système d'exploitation fourni par un seul et unique constructeur, des
sites web ne fonctionnant correctement et complètement qu'à partir de
logiciels fournis par un seul constructeur, du matériel dont
l'utilisation requiers de tels logiciels, etc...
* la condamnation de l'Etat français au remboursement des frais de
développements de logiciels et d'adaptations des sites web induits par
le point précédant
sans que cette liste ne soit exhaustive.
Je tiens ce document à votre disposition également si vous le trouvez
utile à votre combat.
Je suis à votre disposition pour toute question ou information
complémentaire, de préférence par téléphone, au +352-20.20.22.69.
--
Brent Frère
Private e-mail: Brent(a)BFrere.net
Postal address: 58, rue d'Esch
L-3720 Rumelange
Grand-Duchy of Luxembourg
European Union
Phone: +352-20.20.22.69
Fax: +352-26.30.05.96
URL: http://BFrere.net
This e-mail signature can be checked if you have the CaCERT certificate installed.
Check http://www.CaCERT.org for details.
Bonjour Me Sotiri,
J'étais l'organisateur pour LiLux <http://LiLux.lu> et Mensa Luxembourg
<http://Mensa.lu> d'une conférence sur "La Protection des Données
<http://bfrere.net/Conf%C3%A9rence%20protection%20donn%C3%A9es%20priv%C3%A9e…>"
à laquelle vous avez participé en novembre, et je vous en remercie.
Je vous contacte aujourd'hui car je désire connaître les modalités d'une
action juridique à l'encontre de l'Etat français devant la cour
européenne de justice, pour complicité d'abus de position dominante et
distortion de concurrence.
Le dossier complet est disponible en ligne à l'adresse suivante:
http://BFrere.net/VCF
Les faits sont les suivants:
Depuis des années, de plus en plus de distributeurs d'ordinateurs de
type "PC IBM compatible" conditionnent la vente de ces biens à la
souscription conjointe d'un contrat de type "licence logicielle" en
violation du droit européen, qui interdit la vente conjointe forcée. Des
millions d'ordinateurs sont vendus chaque année en Europe dans la plus
parfaite illégalité, mettant à mal le droit des utilisateurs à choisir
librement leur fournisseur de logiciels, ce qui a mené progressivement à
une situation de quasi-monopole sur ce marché, au détriment de la
qualité et du choix pourtant garanti par la loi aux consommateurs.
Plusieurs plaintes ont été déposées, dans divers États de l'Union,
contre ces pratiques, exigeant l'annulation des licences illégalement
vendues et leur remboursement. Ces procédures, individuelles et isolées,
ont généralement été couronnées de succès, sans pour autant mettre fin
aux pratiques illégales toujours constatées.
Personnellement, je me refuse à acquérir un ordinateur dans ces
conditions illégales, sachant que je devrais ensuite suivre une
procédure longue et coûteuse pour un résultat insignifiant (la
condamnation du vendeur au remboursement de quelques centaines d'Euros).
Du coup, depuis fin 2001, je suis dans l'impossibilité de me fournir
l'instrument de travail qui m'est indispensable.
J'ai suivi progressivement toutes les démarches pour obtenir le respect
du droit auprès des autorités compétentes (DDCCRF, puis DRCCRF, puis
DGCCRF, puis médiateur de la république) pour finir par recevoir un
document (page 1 <http://bfrere.net/VCF/images/DGCCRF%201-2.jpeg> et
page 2 <http://bfrere.net/VCF/images/DGCCRF%202-2.jpeg>) signé du
sous-directeur de la direction générale du contrôle de la concurrence et
de la répression des fraudes, qui reconnaît tout simplement sa
complicité avec les délinquants. Il estime en effet que la concurrence
n'a pas lieu d'exister dans ce domaine, puisque le produit vendu de
force est le meilleur choix pour le consommateur.
Je conteste avec la dernière énergie le droit à un Etat de décider à ma
place les fournisseurs qui fabriquent les produits qui doivent me
convenir. Mon seul droit, en tant que consommateur, est le droit de
choisir, et je ne peux donc me résoudre à y renoncer.
Depuis lors, l'UFC-Que Choisir a entamé également une action dans le
même sens, mais je n'en connaît pas l'avancement.
Enfin, récemment, l'Etat français a décidé d'utiliser massivement dans
la fonction publique les logiciels que je désirais utiliser depuis 2001:
Linux, OpenOffice, etc...
Dans ces conditions, vu le refus des autorités françaises de faire
respecter la loi applicable et le droit européen, vu les dégâts causés
au marché de l'informatique au delà des frontières françaises, vu les
condamnations récentes (500 000 000+ EUR) imposées aux opérateurs
téléphoniques pour entente visant à réduire la concurrence, vu les
amendes imposées à certaines sociétés pour abus de position dominante
par l'Union Européenne, et étant donné les preuves qui sont en ma
possession, j'aimerais savoir sous quelles conditions un consortium
d'associations (dont LiLux.lu <http://LiLux.lu>) et de particuliers
lésés par ce scandales pourraient traîner devant les tribunaux européens
à Luxembourg l'Etat français afin d'obtenir
* l'annulation de toutes les licences vendues illégalement à partir du
territoire français depuis le premier dépôt de plainte
* la condamnation de l'Etat français à prendre toutes les mesures
nécessaires au rétablissement d'un équilibre entre fournisseurs de
logiciels dans le marché de l'ordinateur de type "PC IBM compatible"
* la condamnation de l'Etat français pour sa faute lourde, ayant couvert
et soutenu pendant tant d'années une pratique illégale qui avait été
menée à sa connaissance
* la condamnation de l'Etat français à la réparation de toutes les
conséquences de la distortion de concurrence, comme les conséquences
indirectes sur le prix de vente des produits et services qui intègrent
le recours à des technologies informatiques
* l'interdiction de vente des produits pratiquant la technique de vente
conjointe forcée, y compris des logiciels ne fonctionnant que sur un
système d'exploitation fourni par un seul et unique constructeur, des
sites web ne fonctionnant correctement et complètement qu'à partir de
logiciels fournis par un seul constructeur, du matériel dont
l'utilisation requiers de tels logiciels, etc...
* la condamnation de l'Etat français au remboursement des frais de
développements de logiciels et d'adaptations des sites web induits par
le point précédant
sans que cette liste ne soit exhaustive.
Je suis à votre disposition pour toute question ou information
complémentaire.
--
Brent Frère
Private e-mail: Brent(a)BFrere.net
Postal address: 58, rue d'Esch
L-3720 Rumelange
Grand-Duchy of Luxembourg
European Union
Phone: +352-20.20.22.69
Fax: +352-26.30.05.96
URL: http://BFrere.net
This e-mail signature can be checked if you have the CaCERT certificate installed.
Check http://www.CaCERT.org for details.
Bonjour,
Est-ce que quelqu'un a déjà réussi à faire reconnaître correctement le lecteur carte à puce promu par Luxtrust sur un Ubuntu Feisty Fawn ?
J'ai essayé d'installer le package qu'ils fournissent pour Debian, mais l'engin n'est pas trouvé.
Problème de reconnaissance de ce device sur Usb ?
Merci pour votre aide,
Jim
Salut,
Je fais suivre ce message.
Pour ceux qui ne comprennent pas bien le luxembourgeois, il s'agit d'un
utilisateur Ubuntu (7.1) qui a des problèmes avec un système son 5.1
externe via USB (Creative Soundblaster Live! 24Bit)
merci à ceux qui peuvent l'aider :-) [je n'ai pas de système son externe]
Serge
-------- Original Message --------
Subject: LiLux: Soundcard-Problem mat Ubuntu
Date: Sun, 3 Feb 2008 14:50:49 +0100
From: David Greisch <tr_kolleisch(a)yahoo.de>
To: contact(a)linux.lu
This is an enquiry e-mail via http://joomla.lilux.lu/ from:
David Greisch <tr_kolleisch(a)yahoo.de>
Moien,
ech sinn seit kurzem(1 Mount) och Ubuntu-Notzer(7.10), an sinn ganz
zefridden domat. Just meng extern 5.1 USB Soundcard (Creative
Soundblaster Live! 24Bit) kréin ech net un d'goen. Wann ech se
anstiechen, erkennt en se zwar(USB-Audio), mee ech kréien keen Toun
eraus wann ech se bei System->Settings->Audio auswielen, och keen
Testgeraich. Fir Musik benotzen ech den Amarok, an do fannen ech se net.
VLC erkennt se, mee do kréin ech och keen toun domat raus. Kennt dir mir
weidehellefen w.e.g?
An engem Grespréich mam Maggi aus der Promoculture, krut ech irch
empfohlen, hei kéint bestemmt een mer hellefen. Vun enzwouch anecht sinn
ech och gewur ginn, wat een och gesait dass Soundblaster bei Ubuntu/oder
Linux allgemeng net gudd ennerstetzt ass. Bei recherchen um Internet
hunn ech nemmen Leit fonnt di keen driver haten, mee ech hunn awer den
Driver, just en geet net, och kréin en net un d'goen.
Mat beschten Gréiss,
David Greisch,
Schüler aus dem Kolléisch 2B, gleich 18.
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Bill Gates, Microsoft CEO, 1991: "If people had understood how patents
would be granted when most of today’s ideas were invented and had
taken out patents, the industry would be at a complete standstill
today... A future start-up with no patents of its own will be forced
to pay whatever price the giants choose to impose."
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Serge Marelli, Luxembourg
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